TOUT SAVOIR SUR LE PÉNIS

Mesdames et messieurs, vous l’attendiez tous : aujourd’hui on aborde (en profondeur) le sujet du pénis. Taille idéale, zones érogènes ou encore panne… on démystifie un peu tout ça ! 

Avant toute chose, petit tour du propriétaire. Comme vous le soupçonniez peut-être, le pénis n’est ni un os, ni un muscle. Il s’agit d’un organe à la fois reproducteur et urinaire, composé de 3 parties bien distinctes : le gland (généralement la principale zone érogène), le corps, et les testicules

Nous vous invitons à voyager dans ce schéma ci-dessous qui indique chaque élément de la zone reproductrice (et érogène).

Sa taille ainsi que sa forme sont très variables en fonction des pays. En France par exemple, la moyenne se situerait autour de 9 cm au repos et 13 cm en érection. Il est donc complètement normal que vous ne soyez pas (tous) pourvus de la même manière qu’un certain Monsieur Siffredi… et puis après tout on ne vous le dira jamais assez mais la taille ne compte absolument pas. Pour un moment charnel réussi c’est consentement réciproque avant tout, communication à fond et fusion des corps… La forme et la taille du pénis, c’est se-con-daire ! 

PÉNIS : LE PLAISIR 4 EN 1

En première position de cette liste de zones érogènes, on retrouve évidemment le gland ! Grâce à ses milliers de capteurs sensoriels, cette partie du pénis est généralement la plus apte à vous faire monter au septième ciel, à condition évidemment de bien s’en occuper et de bien lubrifier. La zone est extrêmement sensible, alors on y va avec parcimonie et amour. 

Seconde zone, plus méconnue mais ô combien érogène : le frenulum (frein). Une petite languette de peau ultra sensible reliant le prépuce à la face inférieure du gland. À cet endroit-là, douceur et gestes tendres sont de mise ! 

On descend ensuite d’un étage direction le corps du pénis. Bien qu’un peu moins sensible que le gland ou le frein du pénis, une fois bien prise en main cette zone risque bien de vous réserver des surprises… explosives ! 

Pour terminer en beauté, on se focalise quelques instants sur le scrotum. Ici, exit les stimulations trop prononcées et l’utilisation des ongles ou des dents. Place à la douceur, à la finesse... et c’est plaisir intense garanti ! 

PANNE ET ÉJACULATION PRÉCOCE : LE TABOU EST LEVÉ

Qui n’a jamais été confronté à la fameuse panne ? Bien loin d’être une honte, ce petit trouble de l’érection est bien plus fréquent qu’on ne le pense et sa cause est généralement toute bête. Non, ça n’a rien à voir avec le manque de désir, c’est juste une histoire de stress. Messieurs, à trop vouloir bien faire, vous vous mettez dans une situation qui vous dépasse et crée une panique en vous. Votre attention est détournée et c’est là que la panne survient.

Dans ce genre de situation, qui peut être perçue comme humiliante par la gente masculine, la clef c’est de communiquer, rassurer et surtout dédramatiser. Si ça n’a pas marché aujourd’hui, ça fonctionnera la prochaine fois. On se prend dans les bras et la vie continue ! 

Côté éjaculation précoce, là encore, les idées reçues ont la vie dure. La plus tenace : jouir en moins de 10 mn fait de vous un éjaculateur précoce. Comme vous vous en doutez, c’est complètement faux. C’est en dessous de 2 mn de coït que vous pouvez être considéré comme précoce, et encore une fois, la cause la plus probable de ce désagrément est l’anxiété. Keep calm et tout ira pour le mieux ! Bon à savoir : la jouissance précoce ne touche pas uniquement les détenteurs de pénis. 3% des femmes seraient également concernées par cette particularité. 

PÉRIODE RÉFRACTAIRE : KÉSAKO ? 

Si, après l’orgasme, votre partenaire masculin réclame une petite accalmie avant d’enchaîner sur un second round, ne vous vexez pas. C’est tout à fait normal !

Une fois vos ébats terminés, le sexe de votre moitié se met “en veille”. Vous êtes alors en plein dans la période réfractaire, une phase durant laquelle le pénis n’est physiologiquement plus capable de durcir, malgré l’excitation. Ce phénomène, lié à la chute du taux de dopamine et de testostérone dans le corps, après l’orgasme, ne dure généralement que quelques secondes. L’âge, la condition physique, l’état de santé général, la fatigue ou encore la prise de certains médicaments peuvent cependant rallonger cette période de récupération nécessaire. 

Maintenant que vous savez tout, tout, tout sur le sexe masculin, libre à vous de mettre en place les bonnes pratiques afin de votre votre prochaine partie de jambes en l’air mémorable ! 

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